Voici quelques réflexions et points de vue pour poser les bonnes questions aux bonnes personnes et d’agir avec conscience pour le devenir de vos enfants. Un article de Mario Hamitouche du Cabinet de naturothérapie & Espace Yoga Pour Tous à Lausanne.
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Qu'est ce que le papillomavirus ?C’est probablement l’infection anale-génitale la plus répandue au monde, une personne sur dix étant porteuse du virus, aussi bien la femme que l’homme. On estime qu’une personne sur cent présente les manifestations physiques soit sous forme de condylomes ou d’autres lésions, le plus souvent chez la femme. Il existe plus de deux-cents génotypes différents de HPV. Ceux qui pourraient être les plus nocifs sont les génotypes 16 et 18, qui peuvent induire des lésions sévères. Les virus de génotypes 6 et 11 sont considérés comme faiblement nocifs car ils peuvent produire des verrues génitales bénignes et des condylomes, ceci dans prés de 80 % des cas de personnes infectées. L’infection reste asymptomatique et l'organisme élimine naturellement le virus dans les 6 à 15 mois suivant la contamination chez la grande majorité des femmes. |
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Selon ces observations, il faudrait donc : D’où proviennent ces statistiques et comment sont-elles effectuées pour pouvoir prétendre à des pourcentages aussi effrayants selon lesquels 50% des tumeurs qui seraient dues (probablement) au HPV 16 seraient la cause de 80 % des cancers ? |
Comment se transmet le papillomavirus ?Les virus HPV se transmettent essentiellement par voies sexuelles, aussi bien chez les jeunes filles et les femmes que chez les garçons et les hommes. Nous savons que les HVP sont la cause de différentes pathologies, plus souvent désagréables que dangereuses. Nous savons aussi que dans certains cas, et situations particulières, ils peuvent déclencher des pathologies cancéreuses. Nous savons aussi que les génotypes visés par les vaccins ne sont pas les seuls à être responsables de pathologies et que les connaissances plus ou moins avancées de la recherche « scientifique » recensent plus de 30 % de pathologies non dues au HPV de types 6, 11, 16 et 18. |
Comment le vaccin est-il préparé ?La préparation du vaccin est faite en associant une protéine de l’enveloppe virale du HVP à d’autre virus qui semblent inoffensifs puis est injectée par voie intramusculaire en 3 doses, voire plus. L’organisme humain est ensuite censé développer contre cette protéine associée au HPV des anticorps d’immunité spécifique au niveau du col de l’utérus et permettrait ainsi de neutraliser le virus contracté et de le contrôler.
Depuis quand considère-t-on des enfants de 9 ans comme des femmes ??? |
Risques de développer un cancer ?
Une autre bonne question est posée : faudra t-il vacciner les garçons pour agir sur la transmission de l'infection même s'ils n'ont pas ou peu de lésions liées à HPV alors que nous ignorons les effets de ce vaccin sur le long terme ? En attendant que le temps nous montre les résultats de la vaccination sur des milliers d’enfants (fillettes de 9 à 15 ans), ces vaccinations feront le bonheur de l’expérimentation à grande échelle des entreprises pharmaceutiques, des hommes d’affaires, des journalistes puis peut-être même des médecins. Qui sait de quoi sera fait le futur de ces enfants (femmes) ? |
La vaccination ?Le Gardasill®, vaccin contre le HPV, est produit par un laboratoire et firme pharmaceutique américaine, soit une multinationale. Le prix moyen estimé d’un vaccin, soit d’une injection, est de sfr 70.- à sfr 120.-, voire plus. La duré de vie du vaccin est inconnue, il est donc fort probable que des rappels de vaccination soient prévus, tous les 2, 3, 4 ou 5 ans… en plus des 3 premières injection (on ne le sait pas.)
Gardasil® et Cervarix® sont-ils concurrents ou font-ils partie de la même filiale ? |
A qui est utile ce vaccin ?Ceci reste une question importante lorsque le produit vendu génère des sommes qui se chiffrent en dizaines de centaines de millions de dollars et que le bénéfice réel sur la santé de l’enfant et de la femme reste douteux. |
Pourquoi cibler les enfants ?Pourquoi les enfants et les jeunes parents doivent-ils subir le poids médiatique de la peur et du marketing moderne agressif pour se prémunir de quelque chose de « probable » ? Pourquoi cet argent de la propagande (quelques dizaines de centaines de millions par an) n’est-il pas dépensé en éducation et prévention ? |
Le bon sens !Vacciner oui, mais … N'oublions pas d'apprendre aux enfants à se responsabiliser en ce qui concerne leur santé, promouvoir l’éducation sexuelle, rendre attentif au dépistage chez les deux sexes, revoir le fonctionnement économique et politique actuel afin de ne pas s’auto-détruire, remettre les choses dans leur contexte, c'est-à-dire faire de la prévention, instruire, guider les jeunes à vivre avec la nature est non contre la nature, comme c’est malheureusement le cas aujourd’hui. |
Que nous dit mère-nature ?Que toute chose à sa place, son utilité et sa raison d’être. Ainsi est fait l’équilibre, rien n’est gratuit. |
Se donner le temps de la réflexion
Madame A. Lippman de par son invitation à la réflexion adréssée aux autorités et de par sa position de chercheuse et de spécialiste, pose des questions auxquelles chaque parent soucieux du devenir, à court et long terme, de la santé de sa (ses) fille(s) devrait pouvoir répondre en connaissance de cause, tenant compte des non-dits, des méthodes commerciales des industries, des retombés dans 10 voire 20 ans, de la pression des média, etc. |
Un autre point de vue
Chez les personnes infectées, donc, chez des adultes le plus souvent. |
Petite réflexion non scientifique !Supposant que le HVP n’est pas un virus issu d’un laboratoire de recherche et qu’il existe sur cette planète probablement avant l’apparition de l’Homo Sapiens Sapiens. Peut-être est-il utile à quelque chose, peut-être représente t-il quelque chose d’utile pour le corps humain ? Peut être que de s’efforcer de vouloir éliminer, voire éradiquer comme le voudraient certains, un génotype particulier ferait que les quelques centaines d’autres génotypes prendraient la relève et que de nouvelles maladies feraient leurs apparitions, qui sait ? Ou peut être que d’ici 10 à 20 ans (trop tard ?!), nous aurons une surprise du genre Thalidomide des années 50 et 60 ? Peut-être des mutations ou des résistances seront stimulées par la vaccination, un peu comme ce qui arrive avec les antibiotiques ou les autres vaccins plus courants qui sont pointés du doigt pour cause d’apparitions inexpliquées d’allergies de plus en plus massives chez les enfants et les adultes ? Chères lectrices et chers lecteurs, Avec ces quelques réflexions et points de vue, voilà de quoi poser les bonnes questions aux bonnes personnes et d’agir avec conscience pour le devenir de vos enfants car vous en êtes le ou la seul-e tuteur-trice et le-la responsable. |
Mario Hamitouche
Naturothérapeute Le 25 novembre 2007 |